Francisco Pizarro,
 

né en 1468, dans la ville de Trujillo, en Extremadura, ville d'Espagne, il eut pour parents le capitaine Gonzalo Pizarro et Francisca Morales.
La légende prétend que son capitaine de père aurait fait un enfant hors mariage à Francisca Morales qui était à ce moment là servante au Monastère de San Francisco. Il donna son nom à l'enfant, mais cela aurait été son seul geste paternel, il aurait d'ailleurs laissé sa maitresse et son bébé sans beaucoup d'aide financière. Militaire il était souvent loin en campagne.

La rumeur prétend encore qu' enfant Francisco Pizarro s'était vu attribuer la fonction de gardien de porcs, et reçu une éducation tellement limitée qu'il restera analphabète, mais sera doté en contre partie d'un caractère bien trempé.

Il s'enrolera aussi à l'armée, fera plusieurs campagnes puis s'embarquera pour le nouveau monde. On retrouve sa trace sur Hispañola en avril 1502, il a environ 34 ans. Dans la nouvelle colonie de Panama, il se distinguera comme militaire de caractère et excellent meneur d'hommes. Il participe à plusieurs expéditions dont une destinée à découvrir la grande mer du Sud (pour eux de l'ouest : l'océan Pacifique) dont parle les gens de Panama. Il est alors sous les ordres de celui qui occupe le poste de "maire" et homme le plus important de la colonie de Tierra firme. Ce dernier s'appelle Vasco Nuñez de Balboa. Un cacique leur indique, las des pressions espagnoles pour savoir où il y a de l'or, leur disent que plus bas vers sur la grande mer du sud, le grand Curaca d'un véritable empire, est tellement pourvu de ce métal qu'il  mange et bois dans de la vaisselle d'or. Dès lors, les conquistadores veulent vérifier cette version. Vasco Nuñez de Balboa monte alors une expédition aux fins de vérifier l'existence de cette grande mer, ce qu'il découvrira en personne du haut d'une colline le 25 septembre 1513 et Francisco Pizarro qui l'accompagne sera le second Español à l'apercevoir. Mais bientôt y arrive un gouverneur nommé par la  cour: Pedro Arias Davila. Ce nouveau venu se trouve alors confronté à un Vasco Nuñez de Balboa qui occupe cette fonction de fait et y est un homme d'armes très populaire. Le nouveau chef ne sait que faire pour neutraliser ce vétéran encombrant. Si tu ne peux vaincre tout de suite ton ennemi, fait-en un allier dit-on. Arias Davila alors lui offre sa fille en mariage. Puis leur offre une maison à la préiférie de la bourgade principale. Et enfin, l'air affligé invoque un prétexte quelconque pour ordonner à Francisco Pizarro d'arrêter Vasco Nuñez de Balboa. Pizarro obéit. Et Nuñez de Balboa est pendu! 
Francisco Pizarro gagne du galon et  améliore nettement le standing de vie qu'il menait en Espagne au paravant. Il devient un homme en vue de Panama, possède terrains, maison, chevaux.
Mais, il n'a pas oublié le témoignage du cacique et le grand empire de la grande mer du sud, c'est un homme ambitieux tout comme d'ailleurs un certains nombre d'autres "conquistadores", parmis lesquels Pedro Arias de Davila gouverneur de Panama connu sous la contraction Pedrarias, Diego de Almagro autre militaire et ami de Pizarro, ou encore Hernando De Luque qui s'associera aux premiers cités pour former une sorte de compagnie pour la découverte de nouvelle terre vers le Sud en passant par la grande mer.
L'opération n'est pas aussi aisée qu'il n'y parait. Les bateaux, les armes, les chevaux sont chers, très chers. Le "canal" n'existe pas encore loin s'en faut, il doivent donc passer par voie de terre avec les bateaux en pièces détachées qu'il faut remonter côté Pacifique.
Toutes les expéditions n'ont pas abouti sur les quantités d'or escomptés. La société du Levant qu'ils ont créé n'est pas jusque là des plus florissante. Chaque expédition est un défi à la raison, car cela signifie dépenser sans compter pour partir vers l'inconnu avec des hommes dont la nature devient instable face à la fatigue, aux dangers, à la cupidité. Les intrigues sont nombreuses à Panama comme dans toutes les grandes villes lorsque l'ont s'approche des cours.
De Luque est certainement le plus lettré de tous. Vicaire de Panama, il devient par son habileté, ses contacts, le bailleur de mécènes et autres investisseurs.
Francisco Pizarro est probablement le plus décidé. Son ami Diego est certe enthousiaste, et l'appuie, l'aide dans ses opérations. Ils ont fait les quatre cents coups ensemble. Mais ce sera tout de même Francisco qui mènera les expéditions sur le terrains. C'est lui et ses hommes qui se frayerons des chemin à coup d'épées dans les frondaisons luxuriantes, affronteront les indiens hostiles ou d'un abords difficilement déchiffrable. La chaleur, l'humidités, parfois le froid, les pluies, les insectes, la pesanteur de leur équipement (cotte de mailles, partie d'armure, épée, dague, casque etc..), ils emmenent souvent petits canons, boulets, poudre, coffres etc...
Il a pour guider son navire un excellent pilote: Bartholomé Ruiz.
A plusieurs reprises ils sont confrontés à des échecs cuisant qu'il se refusent à admettre réellement. Les défections aussi, les détracteurs sont monnaies courantes.
Lors d'une de ces expéditions quelque part dans l'actuel territoir équatorien, c'est à nouveau la débandade. Ils doivent avec peine fuir les flèches et lances des indiens, les moustiques, alors qu'ils souffrent de la chaleurs, certains sont malades. Ils doivent à la hâte abandonner part de leur precieux materiel, jetter des embarcation à la mer et tenter de s'y hisser le plus vite possible, gènés par l'eau qui leur monte jusqu'aux genous pour certains même jusqu'à la taille.
Trempés, usés, ceux qui ont réussit à échapper aux indiens ont le moral bien bas, quelle poisse, quel enfer, à présent ce sont les flots qu'il faut affronter. Ramer, se laisser dériver. Où sont les leurs, les retrouvera-t-on jamais. "Terre", les regards se tournent vers la bande de sable que pointe du doigts un des hommes. Désignant une pauvre île déserte, où ils vont échouer.
Le bilan est sinistre, Francisco Pizarro tente de réconforter ses hommes, il aide les blessés, il veut incarner le chef, le vrai celui qui donne sa ration d'eau celui qui est le premier au feu, le dernier à l'eau. "Voiles!", voiles ? N'est-ce point un mirage, l'homme qui a crié et ceux qui ce sont mis a crier aussi ne sont-ils pas le jouet d'hallucinations, causées par les fièvres et l'espoir fou d'être recueillis, sauvés d'une mort lente, atroce où l'on se battra bientôt pour une goutte d'eau potable pour quoi que ce soit de comestible.
Mais non, l'homme avait raison, les voiles sont maintenant bien visibles, c'est le bateau d'intendance de Diego de Almagro. Il les a retrouvé.

Mais, si Diego les sauvait, il n'était pas porteur de bonnes nouvelles pour autant. Il débarqua et vint à leur rencontre sur l'île, il les averti que le gouverneur, las de dilapider sa bourse dans des expéditions douteuses qui devenaient toujours plus onéreuses, mais ne rapportaient jamais un "escudo", avait décidé de leur couper les vivres.
Ils avaient ordre de rentrer à Panama sans délai pour rendre leurs comptes et se dédier à trouver quelle que tâche que ce fût pour commencer à rembourser leurs dettes et ne plus jamais parler d'expédition.

Francisco Pizarro ne l'entendit point de cette oreille. Il décida de jouer le tout pour le tout. Il traça sur le sol de l'île une ligne de la pointe de son épée. Il décida que ceux qui resteraient en deçà de la ligne rentreraient à Panama où les attendraient la misère, la honte, l'humiliation, la ruine, les collibets, peut-être même des problèmes judiciaires parcontre, ceux qui, avec lui, se placeraient de l'autre côté de cette ligne, partiraient avec une embarcation de secour que remorquait le bateau principal, et ils découvriraient le Pirou, ou Birou, enfin ce pays couvert d'or, puis rentreraient millonaires, couverts de gloire à Panama.

Pizarro a tracé un ligne au sol ceux qui la franchiront pour continuer l'expédition seront 13Ils se retrouvèrent seulement quatorze, l'histoire en retiendra treize du côté de Pizarro: Juan de la Torre, Alonzo de Briceño, Gonzalo Martin de Trujillo, Anton de Carrion, Pedro de Halcon, Domingo de Soraluce, Alonso de Molina, Pedro Candia, Martin de Paz, Cristobal de Peralta, Garcia de Jaren, Francisco de Cuellar et Nicolas de Ribera, plus un mûlatre (qui ne sera pas comptabilisé en raison de sa couleur de peau).  Mais, il faut croire que le nombre fut bon car ils arrivèrent au Nord de l'actuel Pérou et jetèrent l'ancre devant les plages de Tumbes qui s'étendaient devant quelques palais resplendissant, riches à foison.

Pizarro envoya quelques uns de ses hommes à terre avec une chaloupe, sans descendre lui même.
Ceux-ci furent accueilli avec déférence, honneurs et nombreux cadeaux par les habitants des lieux. Ils purent refaire provision d’eau douce et remplir tous les tonneaux prévus à cet effet à raz bord.  Ils reçurent aussi quelques présents.  Encouragés par ce premier succès et avec l’avis favorable du pilote du bateau, ils laissèrent les trois hommes sur le continent et continuèrent de faire un peu de cabotage plus au sud pour voir s’il y avait d’autres villes aussi intéressantes plus bas.  Ils arrivèrent ainsi près d’une zone appelée Huanchaco, près de ce qu’on leur annonça comme la grande ville de Chanchan. Mais là encore, Pizarro ne descendit point à terre. Il envoya quelques hommes qui revinrent avec l’une ou l’autre chose.  Il aurait fallu descendre en nombre et former une véritable délégation, des chevaux etc. pour aller vers une ville à l’intérieur des terres.  Ils décidèrent alors de remonter vers le Nord où se trouvaient Molina et Gines.
Lorsqu’ils arrivèrent, ceux-ci avaient fait plus ample connaissance avec la population et des notables de la  zone.  Ils avaient parlé de leur Dieu, leur Roi et de leur grand chef qui était à bord du bateau.  Une princesse manifesta le désir de le recevoir en sa grande maison.  Mais Pizarro ne voulait pas descendre à terre.  Il savait qu’en cas de problème ils étaient cette fois bien trop peu nombreux pour pouvoir faire face à un coup de force.  La princesse décida alors, avec une petite délégation, de lui rendre visite à son bord.  Elle lui apportait quelques présents et surtout voulait lui montrer qu’il pouvait accepter son invitation sans crainte.  Pour l’en convaincre, elle laissait à bord les membres de sa délégation en otages.  Ceux-ci seraient garants sur leur vie de ce que Pizarro et ceux qui l’accompagneraient seraient bien traités.
Pizarro dut alors faire violence à son principe de prudence et accepta de suivre la princesse qu’on lui dit s’appeler Capullana.
Celle-ci les reçut, en effet, avec grande civilité, leur offrit de se baigner d’abord s’ils le souhaitaient. Leur invitation fut plus marquée encore envers le seul mulâtre du groupe qu’ils baignèrent à grande eau et frottèrent avec conviction mais en vain, ils durent se rendre à l’évidence : c’était là la couleur de sa peau.   Cela se fit néanmoins dans la bonne humeur avec un mélange de déférence et de côté bon enfant.  On leur offrit le boire et le manger en un véritable festin.  Le banquet donné leur permit de reprendre force et de récupérer une humeur plus joyeuse après les privations, les vexations, les sacrifices terribles de ces dernières semaines.
La princesse Capullana se vit offrir quelques verroterie et autres objets du peu qu’ils avaient encore pu emporter et qu’Almagro avait pu leur concéder dans ce but.  En retour, elle les remercia d’avoir accepté son hospitalité et leur fit aussi maints cadeaux.
La chaloupe fut lourdement chargée de présents, de vivres, fruits, épices, de tissus, céramiques, objets d’ornementation, animaux et quelques sujets (dont deux hommes qu’ils rebaptiseraient Fillipillo ou Felipillo et Martinillo et deviendraient interprètes jouant alors un rôle parfois déterminant dans la suite des événements).  Peu ou pas d’or en vérité, mais suffisamment de choses pour éblouir toute la nouvelle colonie de Panama.   Pizarro laissa deux ou trois de ses hommes là-bas, dont l’un malade et un autre un peu affecté aussi : Molina et un matelot de nom Gines, pour qu’ils préparent les populations afin qu’elles collaborent avec les Espagnols lorsqu’ils reviendraient, et en attendant surtout pour qu’ils se soignent.

Leur retour fut donc comme l'avait prédit Pizarro triomphal, le tout Panama, les courtisait, tous voulaient les voir, les écouter, voir ce qu'ils avaient ramené. Savoir quand ils repartiraient et savoir s'ils pourraient d'une façon ou d'une autre être associé à cette réussite très prometteuse.

Mais, avant cela, il fallait envoyer quelqu'un à la cour d'Espagne faire rapport et obtenir les moyens et titres qui permettrait d'envisager une véritable conquista armée.Battre le fer tant qu'il était chaud, ne pas se laisser damer le pion par un des sponsor ou pire un rival. Il faut aller vite. Ici aussi les voyages sont longs et chers, il faut de surcroit garder la place. Pour l'argent nécessaire à envoyer un des trois en Espagne De Luque assure que ce ne sera pas un problème, les caisses leurs seront à nouveau ouvertes.

Les trois associés du début convinrent que ce serait Francisco qui d'eux trois, irait en Espagne, les autres assurant, à Panama, les préparatifs de la prochaine expédition. Un pacte est établis il tâchera de ramener à De Luque tous les honneurs et pouvoirs possibles à conférer par l'église et la cour d'Espagne pour un "missionaire". Almagro et Pizarro eux se partageront équitablement les charges civiles et militaires, politiques et comerciales.

Et Francisco s'embarque pour une longue traversée vers l'Espagne.
Pizarro avait une revanche a prendre sur le sort qui l'avait fait naitre en Extrémadure fils bâtard d'un hidalgo (dont il ne reçu jamais que le nom de famille) et d'une servante de maison culbutée sans gloire ni reconnaissance. Il avait commencé la vie comme gardien de cochons. Il était parti aux "nouvelles Indes" à la recherche d'un avenir doré que lui refusait une famille hidalgo dont il était en sorte issu, mais, qui l'avait rejetté  la lipe méprisante ainsi que quelques uns de ces frères.

Malgré le fait qu'il est analphabète, il ne sait ni lire ni écrire, il s'est toute fois astreint à apprendre signer son nom et avec les fioritures nécessaire à "un grand hidalgo". 

Les campagnes militaires, d'Europe, du nouveau monde, ses contacts "politiques" à Panama, le passé de son père, ses frères (parfois lettrés comme Hernando) et demi frères, lui serviront. Il parvient, à convaincre une fois de plus, non sans mal, ses créanciers de lui faire confiance (il avait été inquiété à Panama, puis arrêté à son arrivée en Espagne pour dettes, puis relaxé sur retrait de plainte des plaignants)  et de le laisser présenter ses "prises" de premiers contacts à la cour. Il est meneur d'hommes, rusé, autoritaire,  il essaie de convaincre Charles Quint qui, ayant d'autres préoccupations, l'envoie plaider sa cause auprès de son épouse Isabel de Portugal en qui il a toute confiance, ainsi que du conseil des Indes. Francisco Pizarro parviendra à obtenir de la cour d'Espagne, les droits de porter le manteau de l'ordre de St Jacques, des éperons d'or, recevra une rente annuelle confortable, le droit de prélever et attrubuer les parts de butin, les titres et pouvoirs nécessaires pour aller découvrir le Pérou, comme nouveau gouverneur de toutes les nouvelles terres à découvrir au dépend de son associé et ami Diego de Almagro qui ne récoltera que les miettes et un poste de subalterne.

Toute fois Francisco Pizarro embarque donc nouvellement sur la grande mer du Sud qui s'appellera plus tard l'océan Pacifique et abordera le Pérou par le Nord. Il est pourvu d'un navire, d'hommes, de chevaux, de canons et autres équipements. il peut commencer sa conquête armée sa "conquista armada".

Il réussira avec 176 autres soldats européens et des centaines puis de milliers d'alliés, en plus des esclaves qu'il a emmené à pièger l'Inca règnant Atawalpa.
Il exigera une rançon considérable pour sa vie mais malgré le versement de ce qui a été établi, l'inca ne sera pas relâché, il est considéré bien trop puissant et dangereux. Après l'avoir fait baptiser (l'Inca choisira d'ailleurs le prénom de Francisco espérant peut-être par là flatter Pizarro et éviter de la sorte peine trop sévère) et malgré le fait que l'Inca lui donne aussi une de ses soeurs la Princesse Quispe Sisa pour femme, et accèptera que l'on baptise cette fille de la lignée directe de l'empereur Wayna Capac de prénom espagnol devenant dès lors   Ines Huaylas Yupanqui, les conquistadores feront exécuter Atawalpa.

Francisco Pizarro sera nommé Marquis de Nouvelle castille, il fondra l'aspect espagnol de plusieurs villes dont Lima le lundi 18 janvier 1535.Francisco Pizarro à alors 67ans! En hommage à l'épiphanie il la fera baptiser la "Cité des Rois" ou la "trois fois couronnées" car il fait référence au 6 janvier fête des "Rois Mages" Gaspard, Melchior et Baltazar.
Il fait diviser les terrain autour de la place principale en 117 parcelles égales qui feront que Lima portera aussi le nom de "damier de Pizarre".
Fondation de Lima par Pizarro
 

Mais il n'arrivera pas à obtenir de son complice qu'il le considère un jour comme son chef. A telle enseigne que de rebiffades en disputes, Hernando Pizarro, frère de Francisco finira par faire exécuter Diego de Almagro pour insubordination et complot au cours de la pourtant célèbre conquista armada.

Le fils de Diego de Almagro et de nombreux de ses partisans décideront que cette exécution ne resterait pas impunie. Francisco Pizarro sera assassiné lui-même le 26 juin 1541 à l'âge de 73 ans,Francisco Pizarro âgé, vêtu du manteau de St Jacques par les partisans de Diego de Almagro qui vengent à coups d'épée et de poignards, sur le pas de la porte de sa maison de Lima, l'exécution qu'il avait ordonné.

Mais ses meurtriers seront à leur tours poursuivit et certains condamnés à mort par les troupes d'un des frère de Francisco Pizarro: Gonzalo Pizarro.

Francisca Pizarro fille que le Marquis de Nouvelle Castille a eut avec la Princesse Quispe Sisa soeur de l'Inca Atawalpa, rebaptisée Ines Huaylas Yupanqui n'est encore âgée que de sept ans (elle est née en décembre 1534, c'est dire que Francisco Pizarro est père pour la première fois à 66 ans) lorsque son père est assassiné en 1541. Le frère unique de Francisca, Gonzalo, son cadet d'un an, décèdera l'année suivante en 1542. Elle a cependant été élevée comme son frère Gonzalo, sera élevée par son oncle maternel Francisco Manuel Alcantara et son épouse Inés Muñoz de Alcantara selon la foi catholique, et il lui sera enseigné à bien lire et écrire conformément aux voeux de son Marquis de père.

Bien plus tard elle voyagera en Espagne, fera dire une messe pour son père et commandera une vierge en Espagne au sculpteur "Roque de Balduque" arrivé de Flandre à la suite de Charles Quint et dont l'atelier est célèbre, afin que celle-ci soit placée sur la tombe du conquistador.
Cette vierge était si belle qu'elle sera objet de dévotion spéciale de la part de celle qui deviendra la première sainte du Pérou, la dominicaine Santa Rosa
 

Si vous souhaitez en savoir plus nous vous conseillons le Roman historique "INKANATO" qui a été publié en novembre 2001 et retrace la vie dans l'empire Inca, l'arrivée des conquistadors avec une documentation amassée pendant plusieurs années par l'auteur au Pérou.

 
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